Un nouvel élève arrive dans la classe de Victoria. Surprise : il est espagnol ! Autre surprise : il ne parle pas car il est sourd. Enfin si, il parle, mais le langage des signes. Il s’appelle Manolo et a de très beaux yeux. Les deux enfants deviennent immédiatement complice et communiquent par un mélange de signes, de mots articulés et de gestes. Après quelques semaines, un parent d’élève de la classe annonce à la maman de Victoria qu’une pétition est en train d’être signée pour que Manolo soit envoyé dans un centre spécialisé. Selon lui, il est indispensable que les enfants bénéficient d’une éducation correcte et ne soient pas ralentis par la présence du petit handicapé…
Le garçon qui parlait avec les mains
Sandrine Beau
Gwenaëlle Doumont
Récompenses
- Sélectionné pour le prix des Incorruptibles 2017-2018.
- Prix Valdegour Pissevin de Nîmes 2017
- Lauréat du Prix de la ville du Touquet Paris-Plage 2016.
- Lauréat du 29ème Prix des Incorruptibles CE2/CM1 2017-2018.
Commentaires de presse
C’est un joli roman que signe ici Sandrine Beau. L’auteure réussit en effet à transmettre à son jeune lectorat, de manière faussement légère, un message pourtant fort, celui de l’acceptation de la différence ! Les illustrations de Gwenaëlle Doumont apportent fraîcheur et humour à ce texte qui provoquera réflexion et sera source de débats entre adultes et enfants.
Hélène Dargagnon, Ricochet
Une très belle histoire avec de belles illustrations pour faire accepter la différence aux enfants.
Novembre 2015site de l’UNAPEDA : l'Union Nationale des Associations de Parents d’Enfants Déficients Auditifs
Un beau texte qui parle à la fois de la multi-culturalité et de handicap. Une pétition pour sauvegarder le niveau de l’enseignement, ça pourrait être caricatural, mais ça ne l’est malheureusement pas. Et, dans ce récit – et c’est souvent le cas dans la vie aussi – c’est les enfants qui feront preuve le plus rapidement de tolérance et d’ouverture d’esprit.
Leslibraires.fr
Sandrine Beau nous livre ici un texte sensible sur la surdité, ses conséquences sociales et la dureté du monde à l’encontre de la différence.
Février 2016VivreLivre
Tout le problème de l'intégration des handicapés quels qu'ils soient […] est abordé dans ce roman. A partir de 9 ans. (R.S.)
Janvier-Février 2016Libbylit N°123